Neuf
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Date de disponibilité:
Lieu | Detroit de Le Maire |
Nombre de tirages | EDITION LIMITÉE à 30 tirages |
Date de la prise de vue | 5 Janvier 2009 |
Support originel | Numérique |
Format | Grand format |
Périodes | 2000-2010 |
Couleurs | Blanc |
Collection | Vendée Globe |
Jean-Marie Liot est photographe spécialisé dans le nautisme depuis 20 ans. Suivi de courses, prises de vue pour les sponsors, photos des catalogues pour les nouveaux bateaux des plus grands chantiers nautiques, l’amènent à voyager partout dans le monde. Jean-Marie Liot photographie la croisière comme la course. Il a collaboré depuis le numéro 3 avec Voile Magazine, et maintenant avec Voiles & Voiliers. Il effectue depuis de nombreuses années le suivi de grandes courses (le Vendée Globe et la Transat Jacques Vabre comme photographe officiel et collabore aujourd'hui avec l’agence photo Alea), mais il est également photographe officiel du Tour de France à la Voile depuis 1996, et de nombreux marins spécialistes de la Course au Large. Il signe aussi les photos publicitaires des chantiers Jeanneau et Dufour.
Jean-Marie Liot consacre maintenant une partie de son emploi du temps à la photographie culinaire. Un livre réalisé en 2010 en collaboration avec une chef solognote sera la première étape. De rencontres en dégustations, Jean-Marie Liot réalise les prises de vue de chefs et restaurants, des recettes, et du packaging en studio.
Jean-Marie est installé à Vannes, avec sa grande famille.
Le 5 janvier 2009, Michel Desjoyeaux, surnommé le Professeur, a déjà remporté le Vendée Globe en 2001. Il prend à nouveau le départ en 2008, mais des problèmes techniques l’obligent à faire demi-tour laissant filer ses concurrents dès les premiers jours. Mais c’est mal le connaître. Reparti avec 40 heures de retard, le Professeur, comme l’appellent les marins, remonte tous les concurrents un à un, donnant l’impression que les autres marins sont en croisière.
Au milieu de l’Ocean indien, Desjoyeaux prend la tête de la course. Le 4 janvier 2009, il passe le célèbre Cap Horn en tête. Survolé dans le détroit de Le Maire, à la pointe de la terre de Feu en argentine, sa question à la VHF interroge : « Comment te semble le bateau ? »réponse : « intact ! même après un demi-tour du monde ! » Desjoyeaux répond alors du tac au tac « tant mieux, c’est la première impression qui compte… ».
On découvrira après son arrivée victorieuse aux sables d’Olonne, qu’il a du faire face à de nombreux problèmes techniques, dont la récupération d’un safran grâce à une simple retenue en corde de 4mm, la pointe avant quasi coupée en deux, le privant de porter ses grands spinakers avant réparation. Et la liste tenue secrète pour pression psychologique vis a vis de ses concurrents était longue comme un jour sans pain. Le professeur on vous dit…