Tea Time - Bernard Rubinstein Zoom

Tea Time

Bernard Rubinstein

30x45
cm
50x75
cm
60x90
cm
80x120
cm
Tirage
FineArt
Baryta Hahnemühle 315g
Contrecollage
Dibond 2mm
barres
accrochage
Caisse Américaine
Bois Noir/Blanc/Naturel
Impression plexi
Type "Diasec"
Chassis rentrant
À partir de

75,00 €

LieuPlymouth, UK
Nombre de tiragesEDITION LIMITÉE à 30 tirages
Date de la prise de vue5 juin 1968
Support originelNégatif
FormatVertical
Périodes1960-1980
CouleursNoir&Blanc
CollectionVintage
Bernard Rubinstein
Bernard Rubinstein

Dans le monde de la plaisance et de la course, c’est Rubi. Un surnom qu’il doit à Olivier de Kersauson, son compagnon de quart de la première course autour du monde, à bord de Pen Duick VI en 1973. A son retour, il change de cap et en profite pour redoubler son Cap-Horn sur Neptune en 1977. Révolu les maths.

Le prof quitte l’enseignement pour débuter une carrière de journaliste nautique. En 40 années de reportage, Bernard Rubinstein touche à tout pour assouvir sa passion : la mer et les bateaux. De course ou de croisière, il les essaye d’abord dans Neptune Nautisme, Neptune Yachting, puis dans Voile Magazine.Prétexte à naviguer au plus près avec les plus grands marins, d’Alain Colas à Eric Tabarly, de Loïck Peyron à Armel Le Cléach en passant par Franck Cammas. Pour affronter les tempêtes, il fait de longs séjours sur l’Abeille Flandre puis sur son successeur le remorqueur Abeille Bourbon. Passionné de phares, sa collection sur le sujet est unique en France.

D’ailleurs, c’est à l’époque où ces sentinelles de mer étaient encore occupées par les gardiens qu’il débarque sur tous les phares de la mer d’Iroise avec en prime un séjour de huit jours dans le phare des rois, Cordouan. Aujourd’hui, il peut revendiquer en toute modestie d’avoir vécu depuis 1976, tous les départs de la Transat, ceux du Rhum, du Vendée Globe. D’avoir écrit et photographié des centaines de bateaux. De la à en tirer une certaine gloriole, ce serait mal le connaître. Il est Rubi, tout simplement.

Calme plat en baie de Plymouth le 5 juin 1968 pour le départ de la troisième édition de la Transat en solitaire anglaise. A bord de Sir Thomas Lipton le monocoque de 17 mètres mené par le britannique Geoffrey Williams, il n’y a rien à faire. Seulement attendre les premières risées qui le mèneront vers Newport. Le grand génois a été envoyé. Sur l’arrière, la pale de la girouette automatique est parfaitement immobile.

Nul ne sait à qu’à l’heure où cette photo est prise depuis un bateau à moteur que Geoffrey Williams va inscrire son nom au panthéon des Transats en remportant l’épreuve en 25 jours et 10 heures. En revanche, les rares journalistes de la presse nautique présents à Plymouth, n’ignorent rien de la présence d’un ordinateur embarqué sur Sir Thomas Lipton.

Un ordinateur-une première du genre-qui va permettre à Geoffrey Williams de suivre la route optimum jusqu’à Newport. Avant l’heure, le routage désormais interdit dans les grandes courses en solitaire.

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