Pretty Barry - Dominique Bresson Zoom

Pretty Barry

Dominique Bresson alias "Dodo"

20x30
cm
30x45
cm
50x75
cm
60x90
cm
Tirage
FineArt
Baryta Hahnemühle 315g
Tirage
Fine Art
Passe Partout
Contrecollage
Dibond 2mm
barres
accrochage
Caisse Américaine
Bois Noir/Blanc/Naturel
Impression plexi
Type "Diasec"
Chassis rentrant
À partir de

75,00 €

LieuMallory Park, Leicester
Nombre de tiragesEDITION LIMITÉE à 30 tirages
Date de la prise de vue19 Septembre 1971
Support originelNégatif
FormatGrand format
Périodes1960-1980
CouleursNoir&Blanc
CollectionCélébrités
Dominique Bresson alias
Dominique Bresson alias "Dodo"

J’ai commencé à faire des photos à 10 ou 11 ans avec le vieux 6x9 pliant à soufflet de mon père, puis avec un Brownie Flash et enfin un Voigtlander. Relativement peu de photos d’ailleurs parce que les tirages coutaient cher et mes parents ne roulaient pas sur l’or…
En décembre 68, avec ma première paie, je rachète l’Edixa d’Alain Rouge et je ne sais plus trop quoi comme "cailloux".
Puis un boitier Pentax, petit à petit une gamme d’objectifs et un deuxième boitier (pas pratique le 42 à vis pour changer rapidement de focale, surtout que les zooms à l’époque…).
Comme je bossais pour JP Drexler (Les motards, entièrement réalisé dans son appartement, photogravure dans la salle de bain…), j’ai commencé, fin 69, à avoir des pass presse, puis après avec "La Moto", voire "L’Equipe" via Bussillet, jusqu’à fin 73.
Après, ben, j’ai connu celle qui allait devenir mon épouse pour quelques années, donc plus vraiment de sous à dépenser…
Il faut dire qu’au début (j’ai commencé à la CII), j’étais remboursé de mes kilomètres professionnels, comme fin 70 j’avais acheté une Capri 2300, en forçant « un peu » sur les déplacements, mes kilomètres perso ne coutaient pas trop cher… Mais après ils ont obligé tout le monde à avoir une 4L de service, et même si j’ai réussi à faire 18 mois de résistances, j’y suis passé aussi… malgré mes 2m et 100kgs (et quelques) !!
Après j’ai changé tout le 42 à vis pour des OM2 Olympus. Le bonheur…

Mais en 85, j’ai emménagé dans mon gourbi de Malakoff, et plus de possibilité de faire du négatif et des tirages : Impossible d’avoir du noir noir ! Donc Diapos. Et en 2002, des copains m’achètent un petit numérique, car ils avaient besoin de photos diverses pour un commissaire priseur. Un Olympus, bien sûr… De fil en aiguille et au fur et à mesure des nouveautés, je suis monté en gamme jusqu’à mon E-3 actuel et toute la gamme de cailloux et de flash « qui vont bien"…
Anecdote : A l’époque, j’achetais le 24x36 en rouleaux de 16m, qu’il fallait coller, bobiner et couper la nuit, sous les couvertures… De la Tri-X et beaucoup de HP5.
Le lundi soir d’un weekend de course, dans la nuit, je développais les films 6 par 6 et le reste de la semaine, je passais une partie de la nuit à tirer les photos que, le weekend suivant, je vendais à mes « habitués ». Parfois, ça payait un plein de la Capri. Mais un seul, hélas… Mais ça, c’était juste pour les courses en France. Les photos en Angleterre, c’était pour les yeux… Et les archives !
En 2006, j’ai eu un « gros » PC (enfin, par rapport au Pentium de l’époque…) et acheté un « gros » scanner HP, qui pouvait numériser du A4 par transparence, donc 4 bandes de films ou 4 séries de diapo. Ce qui m’a permis de numériser tous mes négas et diapos (sauf celles « rangées » quelque part…) et de constituer des archives numériques aujourd’hui disponibles pour vous chez Sails & Rods !


Agé de 21 ans, Barry n’est encore qu’un espoir de la vitesse anglaise qui vient de terminer deuxième du Championnat du monde 125 cm3 avec sa vieille Suzuki. Mais la clope est déjà là !

Donnez votre avis

Pretty Barry - Dominique Bresson

Pretty Barry - Dominique Bresson

×
Newsletter
Embarquez avec nous
et suivez nos collections
et nos promos !
Inscrivez-vous